Références et crédits


Sources   L'auteur du Site   Un mot sur les Turcs

Les principales sources que j'ai utilisées sont les suivantes :

Les sources sont immenses notamment en ce qui concerne le génocide. Chacun des livres que je cite offre des listes de références impressionnantes. Par ailleurs, j'ai puisé sur Internet de très nombreux détails enrichissant le site. Un certain nombre d'ouvrages m'ont servi à recouper des informations ou a compléter d'un détail manquant le corps du texte. Ils ne sont pas cités ici.

L'auteur du site :

Je m'appelle Charles Sarafian. Ce site appartient à la catégorie des sites personnels. Il est créé en amateur et son contenu n'engage que moi (sauf citation).

Ma motivation est très simple : Replonger dans mes racines et partager le fruit de ce travail avec d'autres francophones d'origine arménienne. Le site est le moyen à la fois de communiquer avec les autres et de mesurer l'avancement de mes recherches.

Je regrette infiniment la part importante que le génocide occupe dans ce site, qui n'est que le reflet de la place qu'il occupe dans la mémoire arménienne.
La culture arménienne ne se résume pas à l'épouvantable drame qu'ont subit les hommes entre la fin du 19 eme siècle et les années 20. Elle est plus vaste, plus glorieuse et plus riche.

Cependant, pour éviter toute méprise sur mon propos, je précise ici comme j'ai promis de le faire que je suis pas un ennemi du peuple Turc.

Le mode de vie turc est celui de mes ancêtres, ils ont vécu au sein de l'Empire Ottoman, ils y ont vécu le bonheur et le malheur, ils ont partagé, avec de nombreux autres peuples, les délices de l'Orient comme la cruauté des temps. Les Jeunes Turcs ne sont pas les Turcs, même s'ils en sont issus, comme les nazis ne sont pas l'Allemagne, même si elle les a enfantés.

L'extraordinaire cruauté qui fut appliquée aux Arméniens au début du siècle est un  écho horrible des récits de massacres qui égrènent l'histoire du Moyen Orient. On ne pourra jamais oublier. On exigera toujours que la Turquie admette, et reconnaissent les faits.

Mais la question du pardon ne se pose pas. Il n'y a plus personne à condamner ou à qui pardonner.

Les Turcs d'aujourd'hui et de demain sont les alliés qui nous aideront à rétablir la vérité historique.


Charles SARAFIAN Novembre 1999